Si vous travaillez en moyenne 40 heures par semaine, vous passez probablement plus de temps avec vos employés, collègues ou gestionnaires qu’avec vos proches.
Une personne agréable dans le bureau peut rendre le pire travail supportable. De la même manière, un employé ou un patron franchement douloureux peut faire le meilleur endroit pour travailler totalement horrible !
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Nous passons près de la moitié de notre vie au travail et, compte tenu de la complexité de la nature humaine, les choses deviennent nécessairement difficiles. Que ce soit des problèmes directement liés au travail ou des problèmes à la maison, quand il y a une interaction constante entre les gens, nous ne pouvons pas toujours rester en bons termes, malgré les meilleures intentions.
Nos employés sont comme des membres de la famille. Nous ne pouvons pas nécessairement choisir avec qui nous travaillons, donc nous devons apprendre à vivre avec eux !
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Il y a des personnalités avec lesquelles il est très difficile de travailler pratiquement dans tous les lieux de travail !
Comment identifier un collaborateur difficile ? Et comment gérer une personnalité douloureuse au travail ?
Il est important de comprendre les différents types de personnalités toxiques que vous pouvez rencontrer sur votre lieu de travail, et surtout comment bien communiquer avec elles, car elles peuvent avoir un impact négatif sur le travail de toute l’équipe et le succès de l’entreprise.
Votre cabinet d’experts-comptables en ligne SmallBusinessAct révèle le top 18 des personnalités toxiques les plus courantes au travail et les meilleures méthodes pour les gérer intelligemment.
Plan de l'article
- #1. Celui qui coupe le mot
- #2. M. ou Mme, je sais tout
- #3. L’anarchiste
- #4. Le négatif
- #5. L’amant du haut-parleur
- #6. Le Pipelette
- #7. La victime
- #8. Le robot
- #9. Le fantaisiste
- #10. L’égocentrique
- #11. Le contrôleur
- #12. Le silencieux
- #13. Agressif passif
- #14. Le super stressé
- #15. Le paranoïaque
- #16. Obsessif
- #17. Émotionnel
- #18. Les commérages
- Comment manager vos équipes avec une méthode agile ?
#1. Celui qui coupe le mot
Chaque fois que vous parlez à quelqu’un au bureau, cette personne trouve un moyen d’interférer. Il répond à vos questions et vous ne pouvez pas avoir de conversation privée sans entrer dans la discussion.
Comment faire face à ce collègue envahissant ?
Répondre directement au problème.
Quand quelqu’un est trop intrusif, dites quelque chose comme : « En fait, je voulais vraiment obtenir l’opinion de Caroline à ce sujet. Pouvez-vous nous donner une minute ? ».
Si la personne continue de vous interrompre, répétez la phrase. Sois gentil, mais surtout ferme.
#2. M. ou Mme, je sais tout
Cette personne a une opinion sur tout et prend plaisir à vous expliquer comment mieux faire votre travail. Sans nécessairement des intentions malveillantes, cette personne exerce une forme de tyrannie parce qu’il est convaincu qu’il a toujours raison et essaie systématiquement de se placer au-dessus des autres.
Comment gérer un employé vantant ?
Ignore-le.
Plus vous ignorez cette personne et l’empêcher de vous atteindre, mieux c’est. Quand elle donne une opinion non sollicitée, dites simplement : « Merci, j’y réfléchirai. »
Et si vous vous sentez frustré, soyez assuré que ce personnage est certainement considéré comme odieux par la plupart des gens au bureau (ou même les clients/fournisseurs). Vous n’êtes certainement pas la seule personne irritée par son comportement.
#3. L’anarchiste
Cette personnalité rebelle est peut-être l’une des plus difficiles à gérer. Ce type de collaborateur ou même supérieur se comporte imprudemment et agit d’une manière que d’autres trouvent déroutante, inconfortable ou même obscène.
Il a des difficultés avec les autres et s’ennuie rapidement. Lorsqu’ils s’ennuient, ils créent intentionnellement des problèmes simplement pour remuer le pot, afin de générer de l’excitation.
Comment gérer l’anarchiste de bureau ?
Le moyen le plus efficace de gérer ce profil est de le placer dans votre propre bureau loin des autres ou de lui permettre de travailler à distance. Être proche des autres provoque à cet anarchiste une énorme quantité de chaos interne et d’irritation.
Ce profil sera plus facile à gérer et s’acquittera de sa tâche plus efficacement si son interaction avec les autres est limitée.
#4. Le négatif
Certaines personnalités du bureau se livrent à la négativité. Ils n’aiment pas leur travail et n’aiment pas travailler pour leur entreprise. Leurs patrons ou collègues sont tous des imbéciles qui les traitent toujours injustement, leur entreprise n’en fait jamais assez pour eux, leur les clients sont mauvais, leurs collègues sont envieux… Bref, rien ne leur convient jamais, et leur vie est une plainte continue.
Vous connaissez ces profils hyper négatifs — chaque organisation compte quelques spécimens parmi ses équipes.
Comment vous protéger contre les collègues négatifs ?
Si vous le pouvez, évitez la présence de ce genre de personne dans le bureau. Ne laissez pas sa négativité vous affecter. Fermez votre esprit complètement à toutes ses remarques négatives ! Concentrez-vous sur des images positives dans les cas où vous ne parvenez pas à échapper.
Rappelez-vous aussi que cette personne est triste et probablement très déprimée. Les gens heureux ne se comportent pas de cette façon. Et se souvenir de ça pourrait vous faciliter les choses.
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#5. L’amant du haut-parleur
Pour une raison incompréhensible, cette personne écoute toujours ses messages vocaux sur un haut-parleur ou mène des conversations entières sur un haut-parleur avec un mépris total pour son environnement.
Ou bien, il/elle aime beaucoup parler et a une voix qui porte. Et enfin, vous avez l’impression que vous n’entendez que cela toute la journée et il devient difficile de rester concentré sur votre travail .
Ouais, mais ici tu ne veux pas être le service ennuyeux, et tu ne sais pas comment lui dire avec tact qu’il fait vraiment trop de bruit.
Pour gérer un employé bruyant dans le bureau…
Sois simple. Dis quelque chose comme : « Erwan, c’est pour toi, ça te dérange de décrocher ton téléphone ? J’ai vraiment du mal à me concentrer dans un environnement bruyant. »
#6. Le Pipelette
Le pellet n’est pas une mauvaise personne, mais elle n’arrête jamais de parler. Elle est particulièrement douée pour vous engager dans de longues conversations qui ne finissent jamais. Surtout quand vous êtes pressé ou essayez de passer un appel téléphonique.
Comment gérer un collègue très bavard ?
Soyez ferme et ne laissez pas les pipelines vous prendre tout votre temps.
Dites, par exemple, « Désolé, mais je suis pressé et je dois finir quelque chose. » Si la pipette continue de parler, soyez encore plus direct : « Je dois arrêter de parler et retourner au travail ».
#7. La victime
La victime est un autre type de personnalité difficile qui peut être trouvé dans de nombreux bureaux et qui est évident à repérer. C’est la personne qui se plaint constamment et essaie d’attirer l’attention des gens sur ses problèmes (ou problèmes perçus) tous les jours.
Par exemple, les victimes se plaignent de leurs tâches, tentent de convaincre tout le monde qu’elles ne sont pas traitées équitablement ou s’assurent qu’elles ont plus de travail que tous leurs collègues.
Ce type de peut aussi jouer la victime quand quelque chose ne va pas avec un projet d’équipe et prétendre avoir été exclu des réunions importantes.
Une étude a identifié des traits de personnalité communs aux victimes du travail et a constaté qu’ils « avaient tendance à être moins indépendants, extravertis et moins stables que les non-victimes » (Coynea, Seignea et Randall, 2010, p. 335).
Apprenez à communiquer efficacement avec la victime au bureau
- Essayez de faire preuve de patience avec elle pendant les conversations et de reconnaître si elle croit réellement qu’elle a été victime de victimisation, s’il existe ou non des preuves factuelles à l’appui.
- Essayez de prouver le contraire quand elle commence à se plaindre de ses mauvaises circonstances. Par exemple, si elle prétend avoir été délibérément exclue des réunions, il peut être utile de souligner qu’elle était en congé de maladie lorsque certaines de ces réunions ont eu lieu et que vous et d’autres collègues ne vouliez pas la submerger à son retour.
- Essayez de faire preuve d’empathie avec elle autant que possible tout en insistant sur le fait qu’elle devrait essayer de prendre l’initiative de changer les circonstances qui la bouleversent.
- Maintenez vos propres limites pendant les conversations et ne la laissez pas vous traîner dans des plaintes constantes sur les mêmes sujets. Une simple déclaration comme « Je sais que c’est important pour vous et je suis désolé de ne pas avoir le temps d’écouter davantage, mais je dois retourner à mon bureau et terminer mon travail maintenant » peut suffire.
#8. Le robot
Le profil « robot » trouve difficile d’établir des relations avec les autres. Ils n’ont pas le sens des nuances interpersonnelles et sont généralement très rigides.
Son comportement perturbateur au bureau est dû à son extrême rigidité et à son incapacité à bien communiquer avec ses collègues ou ses supérieurs.
« Ils ont des crises de colère et des attaques de comportement s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent », explique Foster.
Comment gérer un psychorigide au travail ?
Si vous êtes un manager, assurez-vous que votre communication avec les employés de votre robot est claire et concise et utilisez des instructions écrites plutôt que verbales.
Si le profil robot est votre collègue, essayez de minimiser les distractions lorsque vous parlez et organisez des réunions individuelles plutôt que des réunions prolongées.
Ce type de personnes a des préférences claires quant à ce qu’elles veulent, donc être flexibles avec elles vous profitera en milieu de travail.
#9. Le fantaisiste
C’ est la personne dont l’état émotionnel va de zéro à soixante degrés en une nanoseconde quand les choses ne vont pas comme prévu.
Ce type de personnalité est presque impossible à gérer. Son humeur change radicalement, soudainement et sans avertissement. Il faut très peu pour provoquer sa colère, car il est possédé par ses impulsions et ne travaille que sur la pensée irrationnelle.
Prendre une minute pour penser est presque une mission impossible pour les fous. Ce type de profil nécessite trop de délicatesse et de baby-sitting de la part de ses gestionnaires et de tous d’autres.
La plupart des gens, quand ils sont entourés par ce type de personnalité, en sortent en permettant à cette personne de suivre son chemin, afin de réduire les conflits inutiles.
Comment gérer un collègue fantaisiste ?
Cet employé a un taux de roulement élevé d’une entreprise à l’autre. Il brise non seulement les ponts entre lui et ses collègues, mais aussi entre lui et ses clients (si c’est un entrepreneur fantaisiste).
En fin de compte, il est plus facile de s’en débarrasser ou de l’éviter que de continuer à essayer de travailler avec.
#10. L’égocentrique
Ce n’est pas nécessairement un faible d’être un peu narcissique. En fait, à son lieu de travail, il est nécessaire de faire une place pour lui-même. Cependant, ce trait de personnalité devient un problème lorsqu’il cache une très faible estime de soi.
Selon Foster, la plupart d’entre nous considèrent que les narcissiques ont une opinion trop élevée d’eux-mêmes. Maintenant, il trouve qu’un narcissique se protège contre une faible confiance en soi.
Collègues, les employés ou les cadres avec ce type de personnalité ont un sens disproportionné de l’accomplissement, sont égocentriques et condescendants. « La personne remplit la pièce de son ego et surestime ses capacités », a déclaré Foster.
Elle ajoute qu’ils ont tendance à recentrer une histoire sur eux-mêmes, à couper votre discours et à s’attribuer le mérite du travail que vous avez accompli. Vous devez réagir pour être respecté.
Ce type de personnalité peut être toxique pour le milieu de travail et tentera de contrôler les situations et d’obtenir du soutien pour leur vision de soi gonflée, peu importe comment cela pourrait nuire à leur environnement ou à leurs relations.
Comment gérer une personnalité narcissique dans le bureau ?
Le profil égocentrique refuse d’entendre tout ce qui pourrait nuire à son estime de soi, dit Foster, alors résistez à la tentation de montrer que vous êtes contrarié.
Essayez plutôt d’autres tactiques telles que l’indication claire de votre nom sur les brouillons d’un document ou l’inclusion d’un tiers lors de l’échange d’idées.
Selon Foster, une autre stratégie efficace consiste à critiquer deux compliments.
#11. Le contrôleur
Il est le gars qui est souvent tatillement et critique à l’égard de ceux qui ne font pas les choses à sa manière.
Ces personnes peuvent avoir des traits de trouble obsessionnel-compulsif (TOC) même si elles n’ont pas le trouble lui-même. Ils ressentent souvent le besoin de contrôler les résultats de tout le monde autour d’eux et peuvent même aller au-delà des limites appropriées et essayer de contrôler des situations qui ne sont pas sous leur responsabilité.
Le contrôleur peut également être un perfectionniste et avoir des attentes incroyablement élevées pour lui-même et les autres. Cependant, il peut être un atout précieux pour votre entreprise ou votre organisation en raison de sa grande attention aux détails.
Communiquer efficacement avec le maniaque de contrôle peut être un grand défi, d’autant plus qu’il pourrait bien être votre superviseur ou votre leader.
Quelles stratégies pour traiter le profil du « contrôleur » ?
- Pour faire l’éloge de son attention aux détails et de son contribution à la réussite du travail.
- Donnez-lui des détails et évitez les ambiguïtés qui pourraient augmenter son niveau d’anxiété.
- Laissez le contrôle lorsque la situation ou la tâche est moins importante pour vous ou n’affecte pas négativement vos performances.
- Ne le prenez pas personnellement quand son besoin de contrôle est à son apogée.
#12. Le silencieux
Le type de personnalité silencieuse est souvent facile à identifier sur le lieu de travail. Ce type n’est pas nécessairement une personnalité difficile, mais peut être déroutant.
C’ est la personne qui est habituellement absente, qui peut s’asseoir longtemps derrière son bureau (au lieu de bavarder devant la machine à café ou de rejoindre tout le monde pour le déjeuner) et peut se rapprocher des autres en se cachant derrière sa boîte, en gardant la porte de son bureau fermée, ou en portant un casque.
Comment communiquer avec un collègue fermé ?
- Ne la pousse pas à communiquer ou à fraterniser avec tout le monde au bureau.
- Donnez-leur plus d’espace et de temps que les autres de répondre à vous et de communiquer leurs pensées et leurs sentiments.
- Reconnaître sa valeur pour la société, même si elle n’apporte pas beaucoup, sinon aucune valeur, à l’environnement social du bureau.
- Prenez le temps de comprendre ce qui la motive et de montrer un intérêt pour elle en tant que personne.
- Ne le prenez pas personnellement si elle n’interagit pas avec vous comme d’autres dans le même lieu de travail.
#13. Agressif passif
Les types passifs agressifs peuvent rendre l’interaction avec les collègues de bureau très difficile parce qu’ils peuvent ne pas être aussi faciles à repérer que les autres et peuvent causer de réels dommages.
Ils se comportent de manière fictive, par exemple, cachant leurs vrais sentiments en prétendant que tout va bien quand ils sont contrariés. Ils ont également tendance à paraître calme, froid et recueilli en tout temps car ils gardent leurs sentiments négatifs enfouis profondément dans le fond.
Cependant, il y a un signe classique qui les distingue : ils peuvent saboter le travail ou la performance des autres, ou se venger d’une manière furtive.
Comment gérer un employé « passif agressif » ?
- Évitez les comportements agressifs passifs réciproques et traitez les problèmes avec eux en toute transparence, avec tact et avec un bon moment pour les conversations.
- Utilisez la communication directe pour communiquer l’impact de leurs comportements négatifs sur vous, vos collègues et l’environnement de travail. Par exemple, « Je ne me sentais pas respectée lorsque vous vous êtes présenté en retard à ma présentation ».
- Exprimez votre intérêt pour leurs vrais sentiments et créez un espace sécurisé où ils se sentiront entendus et considérés.
#14. Le super stressé
Peu importe combien ou peu de travail cette personne a sur son assiette, il semble toujours être proche de lui arracher les cheveux.
Chaque fois que vous passez devant son bureau, il est dans tous ses états sur un projet ou un autre, et si vous l’engagez dans une conversation, préparez-vous à tout savoir sur ce qui le dérange.
Que ce soit dans son vie personnelle ou au travail, cette personne éprouve constamment quelque chose de stressant. Cela rend non seulement le travail avec elle une expérience stressante, mais aussi la rend peu fiable.
Ces gens ont tendance à oublier beaucoup de choses, parce que leur sentiment d’être submergés les amène à couper le fil des tâches qu’ils ne se souviennent pas d’accomplir.
Comment gérer un employé hyper-stressé (et hyper-stressant) ?
Peu importe ce qu’ils soulignent, ne vous laissez pas mécontenter. Votre stress et votre frustration ne feront qu’aggraver la situation.
Si vous devez travailler en étroite collaboration avec cette personne, divisez le travail en étapes faciles à gérer qui ne seront pas submergées par votre collaborateur/employé. Commencez petit et avancez ensemble à partir de là. Cela les gardera sur la bonne voie et les empêchera de tomber dans une spirale de stress.
#15. Le paranoïaque
Ce type peut être à la fois amusant et frustrant. Ces personnes peuvent avoir les traits d’une personnalité paranoïaque même si elles n’ont pas le trouble lui-même.
Il s’agit notamment de la méfiance constante envers les autres et leurs motivations, de la méfiance envers les autres (même en l’absence d’une cause) et de l’interprétation très négative des comportements des autres (par exemple : « Elle l’a fait parce qu’elle veut me virer ! »).
Pour communiquer avec les paranoïaques dans votre bureau…
- Soyez prudent dans ce que vous lui dites et reconnaissez que vos mots peuvent avoir une torsion très différente dans sa tête.
- Fournir des informations et des explications rationnelles et fondées sur des données probantes, expliquant pourquoi certaines décisions ou développements ont eu lieu.
- Évitez d’être amené à changer votre perception de la réalité, même si cela vous semble étrange et pour les autres autour de vous.
#16. Obsessif
Il est bon d’avoir un certain degré d’obsession, mais une forte préoccupation au sujet du contrôle et de l’ordre ne l’est pas.
Les employés obsessionnels ont peur de la perte de contrôle. Donc, ils essaient d’imposer artificiellement un structure par des règles, des lois et des protocoles. Ils se soucient des détails et aiment contrôler leur environnement, ce qui peut être préjudiciable sur le lieu de travail.
Ils ont des problèmes d’efficacité et peuvent bloquer leurs collègues de bureau.
Ils regardent désespérément la stabilité, mais finissent souvent par se sentir dépassés et entravent leurs propres réalisations.
Les employés obsédés sont d’abord perçus comme bénéfiques pour le milieu de travail, car ils semblent organisés, dévoués et attentifs aux détails. Cependant, ces mêmes caractéristiques finissent par interférer avec les besoins du travail.
Que faire avec un collaborateur obsessionnel ?
Il est important de noter que ces employés ne pensent pas faire quelque chose de mal : dans leur esprit, ils travaillent à la perfection.
La meilleure approche pour gérer ce genre de personne toxique en milieu de travail est de donner l’apparence que vous appréciez leur dévouement. Par exemple, lorsque vous travaillez ensemble sur un projet, surestimez leur engagement à l’égard de la tâche à main.
Aussi, ne pas entrer en conflit sur les petits détails. Tu n’auras probablement pas le dernier mot.
#17. Émotionnel
Ce type d’employé « est inhabituel en ce sens qu’il est si attirant au début », dit Foster, « vous êtes frappé par son intensité ».
Ce type de personnalité est caractérisé par une « surévaluation intense ». Vous possédez quelque chose qu’ils pensent qu’ils n’ont pas et qu’ils veulent avoir. Ils sont incroyablement attrayants et attrayants au début, mais par la suite ils vous attaquent.
Ces employés sont profondément préoccupés par le fait que votre intérêt pour eux peut ne pas durer longtemps, ajoute Foster, donc ils vont pousser jusqu’à ce que vous leur prouviez qu’ils ont raison.
« Cette surévaluation intense peut rapidement se transformer en une dévaluation intense », a déclaré Foster. Ces types d’employés sont émotionnellement instables et peuvent créer un énorme chaos au bureau.
Comment gérer un hyper employé Emotive ?
Définissez les limites et définissez-les très clairement. Lorsque des confrontations ou émotionnelles explosions, rediriger leur attention pour créer une rupture dans la spirale négative. Et surtout, évitez d’être traîné dans le drame à tout prix.
#18. Les commérages
Un type de personnalité très commun dans de nombreux bureaux et facilement repéré : le « potins ». On sait que ces personnes obtiennent leur titre en parlant d’autres personnes (le plus souvent derrière leur dos) et en répandant des rumeurs sur les autres (et ils ont souvent des versions fausses ou très exagérées de la vérité).
Si vous vous êtes déjà retrouvé dans une conversation de potins de votre bureau, vous savez probablement à quoi vous attendre. Vous vous êtes peut-être même trouvé victime de leurs mauvaises habitudes.
Les commérages de bureau se comportent souvent de cette façon pour sortir de leurs propres insécurités ou pour créer un drame pour se divertir.
Parler des autres peut être un moyen de détourner l’attention de leurs mauvais traits (par exemple, une mauvaise performance au travail) ou un moyen de créer des situations qu’ils trouvent amusantes.
Gossip peut également à tort croient que les commérages sont un moyen de communiquer avec d’autres collègues avec qui ils partagent des commérages.
Pour communiquer efficacement avec les potins de bureau :
Tout d’abord, sachez qu’il peut être difficile de communiquer efficacement avec les commérages ou de changer leur comportement avant d’essayer de le faire. Une bonne stratégie de communication est de dire directement à cette personne l’impact de son comportement sur vous avec une déclaration comme « Je me suis sentie vraiment bouleversée par le commentaire que vous avez fait à mon sujet à Jean-Pierre ».
Cependant, soyez prudent avec cela et gardez à l’esprit qu’un commentaire comme celui-ci peut potentiellement créer plus de matériel pour les commérages à utiliser.
- Essayez de rester à l’extérieur des potins et évitez de partager les détails de votre vie personnelle avec des pipettes de bureau.
- Rediriger leur comportement vers leurs propres défauts et sentiments d’insécurité, au lieu de prendre ce qu’ils peuvent dire personnellement.
- Abandonnez l’idée que les commérages de bureau peuvent être contrôlés et se concentrer à la place sur votre propre comportement et un bon exemple pour les autres.
Pour conclure, gardons à l’esprit que personne n’est le compagnon de bureau idéal. Examinez vos propres habitudes et demandez à vos gens comment vous pouvez devenir un meilleur collaborateur quand il s’agit d’interagir avec les autres.
Faites de votre mieux pour limiter la confrontation, maximiser le professionnalisme et déployer des mesures défensives sur lesquelles vous avez le contrôle. Vous serez alors en mesure de créer un environnement de travail plus agréable pour tout le monde.
Nous espérons que cet article vous donnera l’inspiration pour une gestion d’équipe réussie !
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Comment manager vos équipes avec une méthode agile ?
C’est devenu ces dernières années le grand mot à la mode, mais qui est bel et bien le reflet d’une réalité aujourd’hui : toutes les entreprises souhaitent devenir « agiles » aujourd’hui. Comme vous pouvez le constater, il se trouve en effet que c’est un terme qui revient souvent dans les discussions de bureau, et pour cause : c’est une méthode qui a d’ores et déjà fait ses preuves auprès de plusieurs millions d’entreprises dans le monde. Malheureusement, les articles et les informations disponibles sur le sujet sont peu nombreux, et souvent bien trop techniques pour les plus novices.
Si c’est votre cas, et que vous vous intéressez à la méthode agile, nous ne pourrions que vous recommander l’article qui s’intitule « méthode agile notre explication » où vous trouverez dans le détail tout ce que vous devez savoir sur cette méthode. Vous y apprendrez notamment dans le détail comment manager vos équipes avec cette méthode, même avec les personnalités les plus difficiles à encadrer. Concrètement, cela repose sur trois principes. Ces derniers sont très importants, car ils vont permettre à vos équipes de s’impliquer dans un projet :
Soyez transparent !
Tout le monde doit avoir le même niveau d’information sur un projet, sans jamais se mentir. Pour cela, il ne faut donc pas hésiter à parler des points qui sont bloquants, ou encore de l’avancement d’un projet, et cela même si celui-ci a du retard ! Justement, cela pourra permettre à un manager de prendre des décisions en conséquence…
Passez à l’inspection
L’étape d’inspection est très importante car elle vous permet de vérifier que les tâches ont été réalisées dans le temps alloué à cet effet. Dans le cas où cela n’est pas le cas, ce n’est pas forcément la faute des collaborateurs : vous avez peut être, en tant que manager, sous-évalué certaines tâches.
Adaptez-vous
Enfin, l’avantage de cette méthode, c’est qu’elle vous permettra de vous adapter en fonction de l’avancement d’un projet. Dans certains cas, cela peut arriver qu’un processus de recrutement soit enclenché pendant un projet : cela permet aux équipes d’avoir une aide extérieure ou un nouveau collaborateur, dans le cas notamment où un projet n’a pas été évalué correctement. Sans cette dernière étape, la méthode agile n’a pas d’intérêt : c’est pourquoi il est primordial de prendre des décisions claires et précises, même si elles ne sont pas toujours simples à assumer !